jeudi 18 avril 2013

[Reflexion Microwawe] Dois tu écrire ton livre lecteur ?

Question à la con que je pose en effet. Là en peine nuit, alors que j'étais en train de traîner sur des fiches de métier sur l'étudiant : j’admets que à 22 ans passé cela prête à rire d'y passer, surtout que je suis en théorie censé être à un âge où j'ai fini mes études, mais voilà, j'aime bien y traîner pour y lire les fiches cassante sur certains métiers (celle sur "chanteur" vaut assez le coup).

Une fois quelques métiers fait, je me met en quête de chercher à propos de "écrivain"... et là je repense : mon sujet aux beaux-arts portait sur une déclaration de Lucy Lippard, qui parle de l'art absolut. Un art qui évidement n'existe pas et n'existerait jamais, et je pourrai vous l'expliquer en long et en large pourquoi je pense pareil que lui mais cela reviendrait à y retranscrire ma copie d'examen (et croyez moi ce n'est pas un cadeau, ses quatre pages truffé de fautes et griffonné par profusion d'idée ne pouvant être traité en seulement deux heures* sont pas belle à voir). Mais la seconde partie est plus intéressante puisqu'elle parle d'un art populaire, accessible à tous, que on se doit d'utiliser dans ses heures libre qui nous sont offerte grâce au XXIème siècle.

Alors oui Lippard préconise que ce soit utilisé pour l’émergence d'une sorte "d'art" populaire et recherché par tous. Eh bien moi je pense qu'il devrait être plutôt consacré à l'écriture.

Écrire n'est pas sorcier. On dit quelques fois de moi que j'ai les prédispositions pour cela (merci le correcteur automatique), mais je pense que n'importe qui peut le faire, et mieux que cela, que tout le monde se doit de le faire, au moins une fois. Il n'y a pas de monopole du style, comme dans tout art tout est en question de précédent, de sensibilité, de perception (donc si on me pose la question : OUI je considère que n'importe quel danse peut être belle). L'obligation vient plus que on se doit de laisser une trace, de donner ses impressions, se servir de ce lègue pour donner un miroir plus fidèle de soi que ne l'a été la vie, qui est abusé par les reflets et ses diverses réflexions inexacte et altéré par les précédents sur la personne (jugement, valeurs morales etc.)

A vrai dire cette impression je l'ai depuis assez longtemps, et curieusement j'ai toujours dis, même quand j'étais fâché avec la littérature, que je veux écrire. Ici-même j'ai dû parler d'un projet de livre pour raconter le début de mon parcourt dans la vie, il est encore beaucoup trop tôt pour en parler, mais j'ai réellement envie. Aussi, et puisque je pense pas que la vision d'une personne puisse se refléter seulement dans une autobiographie, j'ai envie d'écrire aussi un jour une fiction ou un roman, afin de montrer ce que mon imaginaire referme, qui en est la représentation la plus fidèle. Et cette envie est spontané donc sincère.

Et puis enfaite je me rend compte que comme la plupart de mes articles, ce billet part d'une remarque anodine que j'allonge d'une manière assez surprenante, à la manière d'un pizzaliolo qui étale sa sauce tomate, fier de sa recette. Là c'est bon avec cette phrase vous tenez le dernier bout d'un article "à la Wahid". Et le pire c'est que je pourrai en dire bien plus. Allez bon matin, pervertons.

© Photo Gwen
* Petite remarque que mon petit moi se fait à l'instant : c'est assez dommage AMHA que on nous donne que deux heures pour développer un tel sujet. En français/littérature il y a en général quatre heures, alors c'est dommage car on passe a coté de choses intéressante à développer par manque de temps.

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